L’intelligence émotionnelle est une notion récente, un concept nouveau. Pourtant, l’influence de cette forme d’intelligence peut être très importante voire même supérieure à celle du Quotient Intellectuel dans le cours d’une existence.

L’ intelligence théorique n’est pas directement liée à la vie émotionnelle et un QI élevé ne met pas du tout à l’abri les êtres même les plus intelligents de tout ce qui est relatif à l’univers des passions et des pulsions. En effet, cette forme d’intelligence théorique ne prépare pas du tout l’individu à affronter les épreuves de l’existence ou à saisir les opportunités qui se présentent.

L’aptitude émotionnelle, elle, est une grande capacité qui va au contraire déterminer avec quel bonheur nous exploitons notre potentiel y compris notre intellect. Des habitudes de pensée qui stimulent notre propre productivité vont permettre de mener une vie plus satisfaisante et efficace dans le sens plus en adéquation avec notre nature profonde, et sera donc génératrice d’un bonheur et d’une satisfaction beaucoup plus puissants. Par contre, il est important de noter que les conflits intérieurs peuvent saboter les facultés de concentration et altérer la clarté de la pensée.

L’intelligence émotionnelle est une sorte d’intelligence qui suppose la capacité à contrôler ses sentiments, ses émotions et également ceux des autres, mais aussi à faire la distinction entre eux et à utiliser cette information pour orienter ses pensées et ses gestes. L’intelligence émotionnelle se mesure par le QE : le quotient émotionnel et peut être défini par les caractéristiques suivantes :

1/ La compréhension de ses émotions

2/ La maîtrise de ses émotions et de ses impulsions

3/ La compréhension des émotions d’autrui et la façon d’y réagir

4/ L’inspiration et l’influence sur les autres

5/ Le développement et la gestion des conflits

Il est intéressant de savoir que cette forme d’intelligence, l’intelligence émotionnelle, peut être développée et entraînée. Elle se développe avec le temps et il est possible également de l’améliorer au cours d’une formation  ou d’un coaching sur mesure et adapté. 

On ne parle pas alors de talent inné, mais plutôt de capacités apprises qu’il faut développer et perfectionner afin de parvenir à un meilleur rendement, qui peut d’ailleurs atteindre la sphère de l’exceptionnel.

Nos émotions ont pour rôle de nous signaler des changements qu’ils soient réels ou imaginaires, dans les relations entre individus et environnement afin de fournir une réponse efficace et permettre une meilleure adaptation. Il y a beaucoup d’intérêt à apprendre à développer son intelligence émotionnelle, car les personnes qui en disposent et qui en font bon usage tendent à fonder leur raisonnement sur la structure sous-jacente d’un problème et à organiser leur réponse en conséquence à cela. Ce raisonnement est souvent d’ailleurs fondé sur des images et des informations visuelles.

Nous avons abordé déjà à plusieurs reprises, l’importance de la visualisation créatrice et des projections mentales. Les personnes dotées de cette forme d’intelligence savent également établir des connexions entre différents domaines ou envisager un problème selon plusieurs perspectives. Elles font confiance à leur inconscient pour résoudre ces problèmes. D’ailleurs, elles savent voir une problématique dans son ensemble, dans sa globalité mais sont aussi capables d’avoir une vision focalisée sur des détails significatifs pour pouvoir les prendre en considération.

Ce sont des personnes qui sont généralement capables de s’adapter facilement à de nouveaux contextes et capables également de maîtriser rapidement un nouveau domaine, cela peut être donc une arme stratégique non négligeable au niveau de l‘évolution sociale, de carrière ou au niveau des bénéfices que peut apporter le développement personnel. En effet, confrontées à la difficulté de trouver une solution à une problématique, ces personnes vont chercher des solutions pratiques dans d’autres sphères et elles seront capables grâce à leurs aptitudes particulières, de les transposer dans le contexte initial pour arriver à la réponse. On remarque donc que le fonctionnement cérébral n’est pas du tout le même que celui d’une personne dotée uniquement d’une intelligence classique.

Les personnes dotées d’une intelligence émotionnelle  importante sont d’ailleurs également capables d’être visionnaires. Elles ont une vision claire de l’avenir et de leur propre rôle dans le monde et par extension dans leur existence. On remarque que bien trop souvent les gens, en général, manquent de persévérance au moment où ils en ont le plus besoin et ils perdent le contrôle de leurs émotions dans des situations difficiles. L’intelligence émotionnelle permet de répondre efficacement à ce genre de désagrément. C’est pourquoi, il est crucial d’apprendre à développer cette forme d’intelligence et il est également capital de trouver un moyen constructif d’utiliser ces émotions. Les émotions sont en effet des incitations à l’action.

Analysons l’étymologie du mot Émotion :   » é  » : vers l’extérieur et « motere » signifiant mouvoir.

Elles permettent de surmonter les défis de la vie et des situations trop importantes pour être gérées uniquement par l’intellect. En ce qui concerne la prise de décision, et les actions, l’intuition compte autant sinon plus que la pensée.

D’ailleurs, les sociobiologistes soulignent la prééminence du cœur sur le mental. Il n’est donc plus à démontrer l’importance, voire l’urgence de développer cette aptitude. Les personnes qui ont une bonne conscience et connaissance d’eux-mêmes, c’est-à-dire une attention permanente à leur état intérieur, sont capables de développer leur intuition. Et ces personnes qui ont une forte conscience d’elles-mêmes bénéficient du facteur suivant : le fait que la connaissance de leurs émotions sous-tend une forme d‘indépendance.

C’ est vers cet état que vous devez tendre et je peux vous y amener en accompagnement personnalisé.

 La maîtrise des émotions est une conception positive de la vie ainsi qu’une meilleure santé psychologique. Ceux qui se laissent submerger par leurs émotions qui sont versatiles et qui ont peu de conscience de leurs émotions laissent justement les émotions les dominer, les maîtriser. Les émotions prennent alors le commandement. Les personnes sont gouvernées, submergées par les émotions. En général il en découle un sentiment de ne pas contrôler sa vie, notamment sa vie affective.

A propos de la maîtrise des émotions, il faut savoir que les sentiments jouent un rôle incessant et déterminant dans nos décisions, et que la violence des sentiments tout comme leur méconnaissance peuvent être dommageable pour les choix décisifs que nous avons à faire tout au long de nos existences. La logique formelle ne peut tout résoudre. Elle ne peut à elle seule, fonder nos décisions. Il existe des domaines où il faut sentir les choses. Sentir plutôt que réfléchir.

Lorsque les émotions comme l’anxiété, la colère, la mélancolie, ne sont pas maîtrisées et sont persistantes, elles deviennent pathologiques, générant de l’angoisse, de l’agitation, de la dépression……Il est des cas où une médication et une psychothérapie s’avèrent nécessaires. Si ces émotions sont affaiblies par la médication, elles créent un ennui existentiel, un ennui pesant et permanent qui distancie du monde et des autres et qui génère une démotivation chronique. En effet, l’inhibition s’applique également à la sphère de l’envie, et de la motivation, et l’ennui et le vide peuvent rapidement prendre place.

Nous savons que la souffrance peut avoir une contribution constructive à la vie spirituelle comme autant d‘épreuves ayant un sens sur un chemin de vie. Mais c’est bien le rapport entre émotion positive et émotion négative qui va déterminer le bien-être de la personne. Et notre priorité est bien une quête de bien-être.

De la même façon qu’il y a un murmure constant de pensées dans l’esprit il y a également un bourdonnement perpétuel d’émotions et la dominante émanant de ces émotions  reflète le sentiment général de bien-être ou de mal-être de la personne. Donc, la gestion des émotions est une tâche de tous les instants et revêt la caractéristique d’un outil psychique essentiel au développement personnel et au bien-être. Nos émotions bloquent ou intensifient notre capacité à apprendre, de penser, de planifier, de créer, de résoudre des problèmes, d’avancer, d’évoluer.

Les dispositions d’esprit négatives entravent la pensée, entravent les ressources mentales accaparées qui ne sont plus disponibles pour le traitement d’autres informations. En revanche, les dispositions d’esprit positives augmentent la capacité à penser avec souplesse, facilitent la résolution de problèmes qu’ils soient théoriques, inter-personnels ou relatifs à la vie professionnelle.

L’optimisme est une grande puissance de motivation. L’optimisme permet de considérer qu’un échec « est toujours du à quelque chose de modifiable, pour permettre de réussir par la suite, nous avons appris quelque chose  . Alors que le pessimisme va attribuer à cet échec  une déficience personnelle immédiate. C’est inévitablement de notre faute, par une incompétence que nous avons échoué.  Ces deux points de vue auront des répercussions sur notre comportement

Lorsque l’intelligence émotionnelle est maîtrisée, les émotions sont mises au service de la performance ou de l’apprentissage. Les athlètes l’appellent « la zone », cet état de grâce où l’excellence ne demande plus d’effort et s’efface devant le bonheur de l’instant présent. C’est-à-dire quand l’individu s’absorbe totalement à ce qu’il fait, qu’il y consacre toute son attention, sa conscience, et se confond alors avec l’action. Dans cet état, l’individu ne pense plus à lui-même. Il est dépourvu d’ego. Il maîtrise parfaitement l’action et peut l’adapter aux besoins. Motivé par le plus plaisir de l’acte, il n’a plus de place dans son esprit pour se demander si il va réussir ou échouer.

L’une des manières de parvenir à cet état de grâce, à cette « zone », est une forme de concentration à la fois détendue et focalisée qui demande une certaine discipline pour ensuite acquérir une force propre qui permet de s’abstraire du tourbillon des émotions et réaliser la tâche sans effort avec même une légère euphorie.

Le plaisir, la grâce, l’efficacité qui caractérisent cette fluidité  est totalement incompatible avec les coups d’état émotionnels. La caractéristique essentielle de cette fluidité est qu’elle se manifeste lorsque les capacités individuelles sont poussées à la limite dans des domaines où on possède une expérience confirmée et où les circuits neuronaux sont les plus efficaces avec une dépense minimale d’énergie mentale, alors que la concentration tendue, alimentée par l’inquiétude augmente l’activation corticale.

Dans l’état de fluidité que l’on vient de décrire, même les travaux difficiles semblent reposants et réparateurs plutôt qu’éprouvants. Parmi les aptitudes octroyées par la maîtrise de l’intelligence émotionnelle, on notera l’aptitude à organiser des groupes, l’aptitude à savoir coordonner les efforts en réseau ou en groupes d’individus, la capacité accrue à négocier des solutions, la capacité de médiation afin de savoir prévenir ou résoudre les conflits, la capacité à établir des relations personnelles, la capacité également à éprouver de l’empathie et à communiquer de manière appropriée, mais aussi la capacité d’analyse sociale, le fait de savoir percevoir les sentiments, les motivations et les préoccupations des autres.

Développées conjointement, ces aptitudes confèrent charisme et réussite sociale pour peu qu’elles soient équilibrées par la conscience de ses propres besoins et la manière de les satisfaire en restant en accord avec soi-même. Cette capacité d‘être en accord avec soi-même permet d’agir en adéquation avec ses valeurs et sentiments profonds. La rentabilité de l’intelligence émotionnelle est une idée certes, relativement nouvelle, mais totalement indéniable. Et c’est une forme d’intelligence qui peut être exploitée dans les sphères personnelles et professionnelles y compris au monde des affaires. Le manque de cette forme d’intelligence peut compromettre lourdement le développement personnel ou la réussite professionnelle d’un individu. D’où, l’intérêt de détecter cette forme d’intelligence et de la développer.

Vous pouvez vous aussi acceder à cet état grâce au coaching.

Il a été également relevé les aptitudes suivantes à la bonne exploitation de cette forme d’intelligence,  à savoir qu’elle permet de coordonner efficacement ses efforts. Elle permet de voir les choses du point de vue des autres, ce qui accroît de façon notoire la compréhension, et permet d’ajuster les actes. L’aptitude également à promouvoir des formes de coopération tout en évitant les conflits, encore une fois par anticipation et bonne connaissance de son environnement. Elle octroie également un fort talent de persuasion et la faculté à obtenir un consensus. Elle génère également une forte dose d’auto motivation et d’auto organisation et est à l’origine de la capacité à prendre des initiatives.

En améliorant l’intelligence émotionnelle, on peut optimiser le capital humain dans la sphère personnelle et professionnelle. Il est donc indiqué de procéder à une forme d’éducation à l’intelligence émotionnelle en tant que moyen préventif, en tant que force et potentiel disponible à l’être humain pour optimiser son épanouissement et ses performances.

Vous aussi pouvez tout à fait jouir de cet état de grâce avec un apprentissage approprié en coaching.

Dans le cadre du développement de cette forme d’intelligence émotionnelle, nous pouvons citer quelques axes de travail, cette liste n’étant pas du tout exhaustive,  et pouvant être exploitée de façon adaptable à chaque individu et selon les besoins. Il peut s’agir de travailler sur la conscience de soi en observant et en identifiant ses émotions afin de se doter d’un vocabulaire pour les exprimer et de connaître les relations entre émotion, pensée et réaction.

1/ Conscience de soi

2/ Prise de décision et responsabilité personnelle, c’est-à-dire examiner ses actions et prendre conscience de leurs conséquences. Déterminer si une décision est gouvernée par la pensée ou le sentiment.

3/ Maîtriser ses émotions. Comment ? En surveillant son discours intérieur en vue d’y déceler des éléments négatifs comme l‘auto dénigrement et trouver le moyen de surmonter ses peurs et son anxiété, comprendre sa tristesse, et sa colère.

4/ Apaiser ses tensions notamment en comprenant l’intérêt de l’exercice physique et de la relaxation qui sont d’excellents moyens pour arriver à cet apaisement des tensions.

5/ L’empathie : comprendre les sentiments et les préoccupations de l’autre et se placer du point de vue de l’autre, apprécier les différences dans la manière dont l’autre perçoit les choses.

6/  Communication : parler utilement des sentiments, savoir écouter, faire la distinction entre les paroles ou les actions de quelqu’un et nos réactions et jugements relatifs à celles-ci. Et mettre des appréciations personnelles au lieu de condamner.

7/ L’ouverture à autrui : établir la confiance dans la relation avec les autres et savoir également quand il est approprié ou pas de parler de ses sentiments personnels.

8/ L’acceptation de soi : éprouver de la fierté à se voir sous un jour positif, reconnaître ses forces comme ses faiblesses, et être capable de l’autodérision, accepter ses sentiments, accepter ses humeurs.

9/ L’assurance : exprimer ses préoccupations et ses sentiments sans colère ni passivité.

10/ La dynamique de groupe : coopération, savoir comment et à quel moment, commander ou à quel autre moment, nous devons nous laisser guider en confiance.

11/ La résolution des conflits : savoir se montrer loyal dans les conflits avec les autres, négocier des compromis où toutes les parties sont gagnantes.

Autour de toutes ces questions, émergent d’autres questionnements, à savoir :

Comment les émotions et les pensées ont-elles un impact sur la santé, qu’est-il possible de faire pour aider les gens, les jeunes, les enfants à mieux réussir dans la vie, quel lien y a t’il entre intelligence émotionnelle, vie sociale, éthique, réussite….. ?

 

On notera que l’éducation des émotions, qui suscite pourtant un vif intérêt, reste encore assez marginale. Pourtant, l’exploitation de cette forme d’intelligence peut modifier radicalement le cours d’une existence. Par l’éducation à l’intelligence émotionnelle s’ouvrent donc de nouvelles perspectives non seulement dans les domaines éducatifs, mais ceux du monde du travail, de la santé, des responsabilités civiques et morales.

La maîtrise de soi ou sophrosyne , selon Platon, est une vertu.

Apprenez à vous connaître vraiment pour optimiser votre aptitude à vivre pleinement et éviter les écueils de l’ existence :

Quelles sont les humeurs les plus fréquentes et les moyens de les canaliser. La colère, dont il existe plusieurs sortes, plusieurs formes. Le sentiment d’être menacé est le détonateur universel de la colère. La menace peut être physique, mais le plus souvent, elle est symbolique et touche à la dignité ou à l’amour propre. Lorsque l’individu est déjà énervé et qu’un événement provoque un débordement émotionnel, l’intensité est plus importante et peut dégénérer en fureur ou en violence. On voit deux moyens d’intervention pour désamorcer ce mécanisme : Désamorcer en contestant les pensées qui déclenchent sa montée en puissance, une réévaluation des événements à l’origine de la colère donne l’occasion d’une désescalade de celle-ci, d’une diminution.

Cela fonctionne pour les colères modérées, mais pas forcément pour une véritable fureur en raison de l’intensité. La distraction est, elle, un moyen extrêmement efficace pour désamorcer les plus vives colères. Penser ou faire autre chose pour modifier son humeur peut effectivement couper court à l’enchaînement de pensées productrices de colère, chacune d’elles étant un mini détonateur.

L’anxiété :

Les esprits inquiets s’enferment dans un cercle vicieux, une vision unique où la personne alimente son inquiétude, par association d’idées en imaginant des scénarii catastrophiques. Quand le cycle s’intensifie, il peut dégénérer en troubles associés, tels que les phobies, obsessions, compulsions, crises de panique et insomnies. Il a été établi qu’une meilleure connaissance de soi permet de percevoir les bouffées d’inquiétude et d’aider les anxieux à mieux les maîtriser. Il s’agit de surveiller l’apparition des premières sensations physiques, pensées et images, à l’origine de l’anxiété, et de pratiquer une relaxation quotidienne.

L’étape suivante sera d’adopter une attitude critique vis-à-vis de soi-même et de se poser des questions, les bonnes questions pour remettre en question les préoccupations, cet alliage d’attention et de changement de perception agit comme frein sur la stimulation neuronale. Le questionnement active le circuit inhibiteur de l’excitation limbique tandis que la relaxation amortit les signaux générateurs d’anxiété. La mélancolie, la fameuse perte de tout intérêt oblige à réfléchir, à s’extraire de l’agitation quotidienne et finalement à effectuer des mises au point psychologiques pour dresser de nouveaux plans.

Chez les dépressifs, les émotions interdisent la concentration et perturbent la mémoire active. C’est-à-dire la capacité à garder présentes les informations liées à l’attache en cours. Dans la dépression profonde, la vie est paralysée et peut nécessiter une hospitalisation. En général, une personne peut venir à bout d’une dépression latente. La propension ou pas à ruminer des idées sombres détermine la persistance ou l’amélioration de l’état dépressif.

La thérapie cognito comportementale est aussi efficace que la médication.Elle consiste à contester les pensées habituelles et à les remplacer par des pensées plus positives, de s’efforcer, de changer de point de vue, c’est un recadrage cognitif, et à établir un programme de distractions car s’isoler renforce inévitablement ce sentiment de solitude. Il a été avéré que les individus en proie à la dépression ont tout intérêt de choisir des activités réjouissantes susceptibles de modifier l’humeur, même si ce pas demande un gros effort au début.

C’est le comportement habituel et automatique d’effacer les troubles émotionnels de la conscience qui est un acte d’évasion mentale consistant à ne pas prêter attention aux perturbations affectives. Il est considéré aujourd’hui que cela exerce un effet autorégulateur salutaire sur les émotions, une dissociation positive, l’individu reste serein dans l’adversité grâce à ce processus.

Et c’est là, un des buts suprêmes à atteindre. Tous ces exemples que nous venons de donner, tendent à démontrer l’importance du développement de la forme d’intelligence dite émotionnelle afin de mieux appréhender l’existence dans une forme d’harmonie entre celle-ci et notre nature profonde.

Je peux concrètement vous aider à développer cette façon d’ appréhender le monde et la vie et vous permettre d’ acceder à une meilleure qualité de vie , à un confort d’ ordre existentiel.

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